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1.
Health sci. dis ; 24(1): 92-96, 2023. tables
Article in English | AIM | ID: biblio-1411354

ABSTRACT

Background. The quality of life of the elderly can be compromised by several chronic diseases. This has a considerable impact on their physical and mental capacities.This study aimed to evaluate the quality of life of the elderly at the Yaoundé Central Hospital. Methods.We carried out a cross-sectional study of elderly patients who consulted at the Yaounde Central Hospital forfive months. Sociodemographic characteristics were taken, and we also took data concerning their chronic conditions and depressive symptoms. The presence of any cognitive impairment was evaluated using the Mini-mental state Examination (MMSE). Their functional capacity was assessed with the six-minute walk test. Quality of life was evaluated using the older people's quality of life questionnaire (OPQOL). The multivariate analysis was done on the logistic regression model, and the p values < 0.05 were considered statistically significant. Results.66 participants were included (35 women) with a median age of 70 (IQR: 67 -75) years. About 87.8% had at least one chronic condition, and 47% had two or more. The most prevalent chronic condition was hypertension (71.2%), followed by abdominal obesity (40.9%) and heart failure (24.2%). Mild depressive symptoms were present in 1.5% of our study population. Fourteen participants (21.2%) had a poor quality of life. The factors associated with a poor quality of life was a distance covered in the 6 MWT less than 350m (OR: 3.7, p < 0.05). Conclusion.There is a high prevalence of poor quality of life among elderly patients consulting at the Yaoundé Central Hospital. A distance covered in the 6MWT less than 350m is associated with poor quality of life.


Introduction. La qualité de vie des personnes âgées peut être compromise par la survenue de plusieurs pathologies chroniques. Cela a un impact considérable sur leurs capacités physiques mais aussi sur leurs capacités mentales. Le but de cette étude était d'évaluer la qualité de vie des personnes âgées suivies à l'Hôpital Central de Yaoundé. Méthodologie. Nous avons réalisé une étude transversale analytique sur des patients âgés ayant consulté à l'hôpital central de Yaoundé pendant une période de cinq mois. Les caractéristiques sociodémographiques ont été prises, ainsi que leurs différentes comorbidités. La présence d'un déficit cognitif a été évaluée à l'aide du Mini Mental State Examination(MMSE). Leur capacité fonctionnelle a été évaluée à l'aide du test de marche de six minutes. La qualité de vie a été évaluée à l'aide du score OPQOL.. L'analyse multivariée a été effectuée sur le modèle de régression logistique et les valeurs de p < 0,05 ont été considérées comme statistiquement significatives. Résultats. 66 participants ont été inclus (35 femmes) avec un âge médian de 70 (IQR : 67 -75) ans. Parmi eux, environ 87,8 % avaient au moins une maladie chronique et 47 % en avaient deux ou plus. L'affection chronique la plus répandue était l'hypertension artérielle (71,2 %), suivie de l'insuffisance cardiaque (24,2 %) et de l'arthrose (12,1 %). Des symptômes dépressifs légers étaient présents chez 1,5 % de la population de notre étude. 14 participants (21,2 %) avaient une mauvaise qualité de vie. Les facteurs associés à unemauvaise qualité de vie étaient une distance parcourue dans le 6MWT inférieure à 350m (OR : 3,7, p < 0,05). Conclusion. Il existe une forte prévalence de la mauvaise qualité de vie chez ce groupe de patients âgés camerounais dont le facteur associé retrouvéest une distance parcourue durant le 6MWT inférieure à 350m.Ceci confirme le bénéfice de l'activité physique sur le plan physique et mental, indispensable pour une meilleure qualité de vie.


Subject(s)
Humans , Male , Aged , Physical Endurance , Quality of Life , Urban Population , Aged , Exercise , Mental Health , Walk Test
2.
Health sci. dis ; 24(1): 47-50, 2023.
Article in English | AIM | ID: biblio-1411403

ABSTRACT

Background. The burden of mental disorders continues to grow with significant impacts on health. Their prevalence is higher in patients presenting cardiovascular risk factors.This review takes stock of the frequency, the mechanisms, and the implications of major cardiovascular risk factors in patients with serious mental disorders. Methods. A literature search was done in PubMed from 1980 to 2021 using various combinations of Mesh termslike tobacco, diabetes mellitus, hypertension, dyslipidemia, major depressive disorder, bipolar disorder, schizophrenia. Results. People with serious mental disordershave a greater prevalence of major cardiovascular risk factors compared to the general population. Conversely, people with cardiovascular diseases more frequently suffer from serious mental disorders. More specifically, we note that 45 to 88% of patients suffering from schizophrenia are tobacco users, Depression is reported to be 3 times higher in hypertensives than in non-hypertensives while around 19% of type 2 diabetic patients suffer from major depressive disorderwhich is 3 times greater than in the general population, and the prevalence of dyslipidemia among persons with severe and persistent mental illness is higher than the prevalence in the general population and ranges from 25% to 70%. The concomitant presence of these different pathologies can be explained either by their intertwined pathophysiological mechanisms, or by the side effects of the various medications taken in the context of these chronic diseases. Conclusion. The predisposing factors for the coexistence of mental illnesses and cardiovascular diseases are often entangled. It would be interesting to carry out more studies to elucidate precisely the different pathophysiological mechanisms of these diseases.


Contexte. La prévalence des maladies mentales est plus élevée chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire. Cette revue fait le point sur la fréquence, les mécanismes et les implications des facteurs de risque cardiovasculaire majeurs chez les patients atteints de pathologies psychiatriques graves. Méthodologie. Une recherche documentaire a été effectuée dans PubMed de 1980 à 2021 en utilisant diverses combinaisons de termes MeSH comme tabac, diabète, hypertension, dyslipidémie, trouble dépressif majeur, trouble bipolaire, schizophrénie. Résultats. Les personnes atteintes de maladie mentales graves ont une plus grande prévalence de facteurs de risque cardiovasculaire majeurs comparé à la population générale. A l'inverse, les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires souffrent plus fréquemment de troubles mentaux graves. Plus précisément, on note que 45 à 88% des patients souffrant de schizophrénie consomment du tabac. La dépression serait 3 fois plus élevée chez les hypertendus que chez les non hypertendus. Par ailleurs, environ 19% des patients diabétiques de type 2 souffrent d'un trouble dépressif majeur ce qui est 3 fois plus élevée que dans la population générale. La prévalence des dyslipidémies chez les personnes atteintes d'une maladie mentale grave est supérieure à la prévalence dans la population générale et varie de 25 % à 70 %. La présence concomitante de ces différentes pathologies s'explique soit par leurs mécanismes physiopathologiques imbriqués, soit par les effets secondaires des différents médicaments pris dans le cadre de ces maladies chroniques. Conclusion. Les facteurs prédisposant à la coexistence des maladies mentales et des maladies cardiovasculaires sont souvent intriqués. Il serait intéressant de mener plus d'études pour élucider précisément les différents mécanismes physiopathologiques de ces maladies.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Cardiovascular Diseases , Risk Factors , Mental Disorders , Diabetes Mellitus , Dyslipidemias
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